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Communiqué de presse
26 nov 2018
Au cours du processus de reproduction sexuée, les chromosomes échangent du matériel génétique par recombinaison (crossing-over), participant ainsi à la diversité. Mais ce brassage s'effectue de façon limitée, car les échanges sont rares. En cause, la présence de gènes, dont l'action inhibe le mécanisme. Des chercheurs de l'Inra et du Cirad ont démontré que désactiver l'un d'entre eux, nommé RECQ4, entraîne la multiplication par trois du nombre de recombinaisons chez des plantes cultivées telles que le riz, de pois et de tomates.
12 nov 2018
Un consortium international coordonné par l’Inra, et impliquant notamment le Joint Genome Institute (JGI), le CEA-Génoscope, l’Université de Turin, l’Université de Lorraine et le CNRS, a séquencé et décrypté le génome de plusieurs truffes réputées dont la truffe blanche d’Alba, la truffe de Bourgogne et la truffe du désert. Cette avancée permet de mieux comprendre la symbiose entre arbres et champignons, dont le rôle écologique est considérable, mais surtout les mécanismes impliqués dans la formation des truffes et la fabrication de leurs fameux parfums.
09 nov 2018
Dans un contexte riche en débats sociétaux et réglementaires sur l’édition des génomes végétaux, l’Inra précise sa stratégie d’utilisation de ces nouvelles technologies pour l’acquisition de connaissances et l’amélioration des plantes. Les principes sous-tendant cette stratégie s’inscrivent pleinement dans les valeurs de l’Institut et reflètent sa volonté de contribuer au progrès environnemental, social et économique. Pour élaborer sa stratégie, l’Inra s’est appuyé sur les recommandations de l’avis rendu par le comité d’éthique Inra-Cirad-Ifremer au printemps 2018 ainsi que sur l’avis de son conseil scientifique de septembre dernier.
02 oct 2018
Les agriculteurs sèment actuellement des variétés de maïs de plus en plus tardives pour contrebalancer l’effet du réchauffement climatique. En se basant sur les pratiques et les savoirs professionnels actuels, des mesures faites en conditions réelles sur plusieurs sites, et plus de 3 millions de simulations à partir de 12 modèles climatiques, les chercheurs de l’Inra montrent que l’exploitation de la diversité génétique de la floraison du maïs permettrait l’adaptation au changement climatique et l’augmentation des rendements.
Article
18 sept 2018
Une collaboration entre plusieurs équipes académiques et privées suggère un rôle des modifications épigénétiques dans la réponse des arbres à leur environnement, notamment la sécheresse. Ces modifications sont stables dans le temps, comme une mémoire dont le potentiel adaptatif à long terme reste à démontrer.
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