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Communiqué de presse
24 sept 2019
Utilisée depuis plus d’un siècle pour traiter les troubles gastro-intestinaux, la bactérie Escherichia coli (E. coli) « Nissle 1917 » est un incontournable en matière de probiotique. Néanmoins, cette bactérie produit une toxine, la colibactine, qui casse l’ADN des cellules et pourrait induire le cancer colorectal. Il est donc essentiel de mieux comprendre son fonctionnement afin de minimiser au mieux ses effets secondaires.
25 juil 2019
Des chercheurs de l’Inra, en collaboration avec l’Université d’Adélaïde en Australie, ont étudié les effets sur le métabolisme de l’administration d’un mélange d’édulcorants de synthèse largement répandu : l’acésulfame K-sucralose. Pour la première fois, ils révèlent - chez l’animal - une augmentation de la consommation de glucose au niveau notamment du cerveau et du tissu adipeux, preuve d’effets indésirables vis-à-vis du métabolisme et de la sensibilité à l’insuline.
24 juil 2019
Les préparations infantiles hypoallergéniques sont recommandées pour les nourrissons considérés comme à risque de développer des allergies et qui ne sont pas exclusivement allaités. Elles sont censées éviter que les bébés ne développent des allergies plus tard dans leur vie. Mais sont-elles efficaces ? Une équipe menée par l’Inra et l’Inserm a montré que l’utilisation de ces préparations n’est pas associée à une diminution du risque d’allergie.
18 juil 2019
Les prébiotiques sont, à l’heure actuelle, un des traitements privilégiés de certaines maladies métaboliques, puisqu’ils restaurent l’équilibre du microbiote lorsque celui-ci dysfonctionne et améliorent le métabolisme de l’organisme. Ces molécules nécessitent cependant d’être utilisées à des doses élevées, ce qui peut générer ballonnements et flatulences chez les patients. Une équipe de recherche dirigée par Matteo Serino, chercheur Inserm au sein de l’Institut de recherche en santé digestive (Inserm/Inra/ENVT/UT3 Paul Sabatier), vient de mettre en évidence chez des souris obèses/diabétiques que trois extraits de plantes présentaient des effets prébiotiques, pour un temps de traitement et à des doses inférieurs à ceux en usage aujourd’hui.
Publiée le 17 juillet 2019 dans Environmental Health Perspectives, l’étude menée par l’équipe Gestation et perturbateurs endocriniens de l’Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse (ENVT) et du laboratoire Toxalim (ENVT/Inra/Toulouse INP Purpan/UT3 Paul Sabatier), en collaboration avec les Universités de Montréal et de Londres a montré chez l’animal que le bisphénol S (BPS) persiste plus longtemps dans l’organisme et à des concentrations beaucoup plus élevées que le bisphénol A (BPA). En raison des propriétés oestrogéno-mimétiques du BPS comparables à celles du BPA, le remplacement du BPA par le BPS conduit ainsi à multiplier par environ 250, les concentrations dans le sang d’une substance hormonalement active.
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