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Article
12 juil 2006
Dans un projet européen qui associait plusieurs industriels, les chercheurs ont démontré sur des collections de ressources génétiques de tomate et de poivrons que les polymorphismes d’insertion de rétrotransposons fournissaient d’excellents marqueurs moléculaires utilisables en sélection.
La Jaunisse Nanisante de l’Orge est une des maladies les plus sévères à l’automne pour les céréales à pailles (orge, blé, avoine). Elle est provoquée par un virus transmis par des pucerons. Jusqu’à présent, faute d’outil fiable de prévision des risques de dégâts à l'échelle du champ, seul un traitement insecticide systématique permettait de lutter contre la maladie. Les chercheurs de l’INRA, en collaboration avec Bayer CropScience France, ont mis au point un Outil d’Aide à la Décision (OAD) permettant de réduire potentiellement de moitié le nombre de traitements insecticides employés sur les cultures d'orge, ce qui est à la fois moins coûteux et plus respectueux de l'environnement.
13 juin 2006
Une thèse réalisée à l’Inra de Clermont-Ferrand a démontré la faisabilité et l’intérêt d’utiliser une farine de type 80 (c'est-à-dire contenant 0.8 g de minéraux pour 100g) pour améliorer la densité nutritionnelle du pain. Parmi les différentes stratégies envisagées pour obtenir ce type de farine, l’utilisation d’un procédé simplifié de mouture aboutissant à un écrasement ménagé de l’amande en farine et semoules correspond à une perspective de développement très intéressante pour la filière blé-pain.
12 juin 2006
Le travail réalisé par des équipes du laboratoire de Biologie des organismes et des populations appliquée à la protection des plantes de l’INRA de Rennes en partenariat avec la filière professionnelle, a permis de mettre au point une nouvelle méthode de diagnostic moléculaire des nouveaux variants du virus PVY de la pomme de terre.
Une équipe de l’INRA de Tours dans le cadre du projet Européen EggDefence a réussi à identifier des gènes codant pour les protéines qui influencent la fabrication de la coquille. Il serait donc plus facile de sélectionner les poules pondant des œufs à coquille plus solide, donc moins sensible aux toxi-infections telles que les salmonelloses.
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