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Communiqué de presse
09 juil 2018
Des chercheurs de l’Ecole nationale vétérinaire de Toulouse et de l’Inra et leurs collègues de l’université de Cambridge montrent, pour la première fois, que des prions de mammifères peuvent se propager chez un organisme modèle, la mouche du vinaigre, Drosophila melanogaster, tout en conservant l’ensemble de leurs propriétés biologiques. Ces travaux font de cet insecte un nouvel hôte d’intérêt pour étudier les mécanismes de réplication des prions afin de mieux comprendre les processus qui conduisent aux maladies neurodégénératives.
25 juin 2018
Des chercheurs de l’Inra, du CNRS et de l’université de Bordeaux sont parvenus à mettre au point une nouvelle technique permettant de fabriquer des microparticules capables de stocker spontanément des biomolécules (colloïdosomes). Pour la première fois, ils ont mis au point un tel système d’encapsulation dans l’eau, sans utiliser ni solvant, ni huile.
13 juin 2018
Le 13 juin 2018, dans la revue Cell Host and Microbe, une équipe menée par l’Inra, l’AP-HP, Sorbonne Université et l’Inserm dresse un état des connaissances scientifiques sur le rôle central du tryptophane dans le dialogue avec notre microbiote intestinal. L’ensemble de ces données laissent entrevoir des pistes de recherche et de futures applications thérapeutiques, notamment dans le traitement des maladies inflammatoires chroniques de l’intestin.
25 mai 2018
Si Bacillus cereus est bien connue pour être à l’origine d’infections alimentaires, des chercheurs de l’Inra et de l’Anses, en collaboration avec les médecins de neuf hôpitaux en France dont ceux de l’AP-HP démontrent pour la première fois que cette bactérie est responsable de contaminations nosocomiales inter- et intra-hospitalières.
23 mai 2018
Grâce à l’analyse de 20 ans de données recueillies sur un site d’expérimentation unique au monde, une équipe de l’Inra, en collaboration avec la Suède et Singapour, a étudié les effets de la perte de biodiversité sur la biomasse des plantes dans des environnements contrastés. Ils démontrent que ces effets dépendent non seulement des espèces supprimées, mais également des écosystèmes dans lesquels elles ont été arrachées. De plus, leurs résultats révèlent, contre toutes attentes, que la force de ces effets observés en milieu naturel diminue au cours du temps grâce à des mécanismes compensatoires mis en place par les espèces restantes.
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